lundi 8 novembre 2010

So happy I could die

Que personne ne me dise que cette journée était une bonne journée.
Je l'étrangle sur place.
J'ai trop mal aux chevilles pour continuer le classique pour le moment.
Je n'ai pas assez de force aussi pour continuer.
Le jazz me correspond beaucoup mieux.
Je vais continuer d'aller trouver la rage et la force, d'aller trouver l'oubli dans la course.
Je déteste tous les messages des meilleurs amis oubliés qu'on se le dise.
Je n'hésiterai pas à exploser mon téléphone contre mon bureau, s'il s'avise encore de m'écrire un message plat et impersonnel comme celui-là. Dire qu'il a été le premier et que j'ai fait une crise à cause de lui.
Dire que ma journée a été pourrie rien qu'à cause de ce petit message de merde.
Qu'on se le dise, je ne suis plus malade.
Je ne suis pas faible.
Et si mon non-officiel ose souffler un seul mot de la faiblesse que j'affiche à son bras...
Il ne la prônera pas longtemps.

Hier a commencé le Crash Test.
Il a mal commencé.
Aujourd'hui, il a été plat.
Voyons ce que les choses donneront demain.
Je suis d'une humeur massacrante, il faut vraiment que j'aille sortir tout cela.

Need a Placebo.
Tendresse.

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