samedi 22 janvier 2011

De tout ce temps est né un autre reflet de toi, un reflet vu par moi, par mon crayon. Une heure et demi durant, j'ai tenté de te paufiner, de te parfaire pour que tu sois aussi vrai que nature. Malheureusement, il ne t'égale pas, ou bien, il faut le dire vite, très vite. De ce croquis sont nées des larmes et l'absence, le manque.
Le rire a nourri mes larmes et ce sentiment de vide que le temps refuse d'effacer. Ce chemin est comme le plus aride des déserts durant la saison sèche : éprouvant, lacérant, brûlant.
Cuisant échec, Volonté éteinte.

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire