jeudi 25 février 2010



OBSESSION .


je suis jalouse, à en faire trembler mes jambes, à faire trembler les gens. J'ai plus qu'à plonger en silence. J'pourrais tomber inerte, tu t'en balances. Et ca me ronge ca me pourrit, ca me rend dingue ca m'fout en l'air. Quand je sais qu'tu t'envoies en l'air .... de l'air de l'air de l'air. Et même si je savais pas, j'imagine tout c'est encore pire, tu pourrais tomber amoureux et commencer une vie à deux. et plus tu désires et plus j'expire. et ca me ronge, ca me pourrit, ca me rend dingue ca m'fout en l'air quand je sais qu'tu en l'air. de l'air de l'air  Jalouse ....
J'suis jalouse à en faire trembler mes jambes et même si c'est moi qui casse, j'men fous j'veux pas qu'on me remplace. J'suis jalouse à faire trembler les gens, j'm'écraserais sur l'autoroute, mais tu t'en fous t'es déja loin, le pire c'est d'être déja trop loin. Deja trop loin.
est-ce que parfois des idées noires, te traverses sans crier gare, moi j'en ai un peu tous les soirs pourvu que le temps les écrase. Est ce que tu penses un peu à moi, comme moi, je pense à moi. Est ce que tu souffres autant que moi ? si c'est moins j'te pardonnerais pas .... Jalouse ...

dimanche 21 février 2010

Je suis une idiote.
J'ai aimé l'anniversaire de Noémie.
Demain. Terrible Rentrée.
Je déteste les hommes.
Je suis lâche parrait-il.
Je ne suis plus capable d'aimer.
Peut-être suis-je trop exigente...
J'ai peur de sombrer.
De perdre.
De regretter.
Muriel me manque.
Parfois, je voudrais revoir Andy.
Love Ya.
Je voudrais faire beaucoup de sport.
J'avais une robe bleue des années de ma mère =O
Je suis sage.
Je hais la prépa.
Je la hais.
Je voudrais danser comme une vraie.
Je veux avoir les cheveux longs jusqu'à ma chute de reins.
JE VEUX UNE REPONSE DE LUI.
S. me dégoute
A. me dégoute.
J. me dégoute.


Op' LG
Op' LG
Op' LG

Il le faut.
J'en ai besoin.
Danger.
Marée Noire.

Je suis attirée par toi espèce de Quiche des Alpes !
Et je n'admets pas de suppositions.

Je voudrais dire " Je t'aime "




TAKK.

vendredi 12 février 2010



Je suis malformée des pieds.



mardi 9 février 2010

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Darlin' , Move your body.



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dimanche 7 février 2010

samedi 6 février 2010

NEED A CHANGE.



Summer 78
Y. T.






J'ai certaines choses à dire.





Je voudrais hurler ma peine au monde.


It was a wonderful day, Boys.
[ Dec. 2008.]
Ce soir, Hier soir.
Il n'y a rien à en dire. J'ai passé mon temps à quoi ?
A me Battre.
A me Battre.
Je n'ai cessé, Je suis tombée, Je me suis relevée.
J'ai cru, J'ai cru. Pourquoi ?
Pour ça. Pour moi. Pour ma vie. Pour rien. Pour une montagne de regrets, pour un amas informe de désastres, de rêves oubliés, d' amours bafoués, de désirs refoulés, de combats gagnés mais de guerre infinie.
Voilà donc une bien drôle de Guerre que celle que je croyais gagnée. Je n'ai fait que cela: Combattre.
Mais plus le temps passe et plus j'espère, plus je me dis que je n'espère que vainement.
Il n'y a pas de fins à mes douleurs, il n'y a que des pauses, il n'y a rien que des déceptions et des rechutes. Il n'y a rien d'autre que moi, que ma faiblesse, que mon incapacité à me laisser mourir de faim, de soif et de désir. Il n'a que mes espérances inavouées, que mes rêves irréalisables.

Quand je tente de m'élancer vers la Lune, et priant pour toucher au moins une étoile, Je rate ma cible et tombe dans le néant. Alors pourquoi se lancer ? Pourquoi penser à la réussite ?  A la libération ? Au succès . A la vie ?
Quand je tente d'être forte, ma force elle-même me prouve ma faiblesse, elle me ramène avec force, avec violence vers ce que je fuyais de même.
Chaque seconde est sans faim. Chacune est douleur, obsession et frustration.
Il n'y a pas de plaisir en cette seconde infinie, rien qu'un désir malsain.
Tant de mots pour rien ? Tant de chiffres, de concentration, de volonté, de courage, d'argent.
Pour ça ?

Non. Veto.
Je m'interdis.
Il n'est pas question de tout cela. Je n'avance pas. Rien ne va. Jamais.
J'ai beau m'interroger sur l'utilité de ce combat, je me demande pourquoi j'essaie d'apprendre à nager, pourquoi je tente de me débattre dans un fleuve qui m'emporte, pourquoi je choisis le Contre-Courant. Je n'y trouve pas de réponse. Pas d'alternatives, pas de solutions.
J'ai essayé, essayé, encore et encore. Toujours, mais non.
Garde-fou. Il n'y a pas, il n'y a plus.

Il n'y a RIEN.
La prépa ? Une grosse blague qui fait passer le temps et qui nous donne le sentiment d'aller quelque part. Se dire qu'on va tenter les écoles de commerce.
L'amour ? Un mensonge.
Les mots ? Un poison.
Le Désir ? Une aporie.
La nourriture ? Une torture.
Moi ? Un trou béant.

Alors ? Quoi ? Dire oui. Dire non.
Pas une maladie ? Peut-être que non... Maladif Sowieso.
Oui et ?
De l'aide ? Du soutien ? Deux fois. Professionnellement. Pourquoi ?
Pour moi aujourd'hui.
Ce qui signifit ?
Rien, pas un seul véritable pas en avant.

Je veux bien, je veux tout ce que vous voulez. Je peux bien dire oui, je peux bien sourire, faire semblant ou pas. Je peux très bien me dire que tout va bien. mais ça ne marche pas avec moi. Sentiment de confiance en moi. Absent. Fierté. Absente. Peur. Oui. Désir. Oui. P-P. Oui. N&V. Toujours à l'appel.


Le ciel est bleu, les oiseaux chantent.
No Problem.
Sorge ?

mercredi 3 février 2010

If I could , I would.
Je. Ne. Crois. Plus. En. Rien.
Je n'ai qu'une seule furieuse envie : Danser jusqu'à m'en saigner les pieds, danser à me casser les jambes.
Je n'ai qu'un regret : Avoir perdu ma seule raison d'exister.
D'avoir perdu la seule chose qui importait pour moi plus que n'importe quoi, que j'ai mis de côté pour quelque chose que je déteste. Et voilà,
 6 months and what ?
Nothing else.

On m'a dit qu'il fallait mettre les grosses pierres avant de se faire plaisir avec le sable coulant délicieusement entre ces énormes rochers. J'ai mis un sacré tas de rochers au point de m'en faire une falaise.
Maintenant, ce qui glisse entre les rochers ?
Les larmes de mes regrets que je ravale pour ne pas penser à ce que je viens de perdre.
A ce que j'ai perdu, il y a déja 6 months, et dont je ne réalisais pas la perte.
J'ai mal aux yeux et la gorge. J'ai mal au coeur, mal quand je pleure.
C'est comme si on m'avait arraché un truc, juste là, un truc qui ne reviendra jamais.
Je refuse que mon entérique tire la sonette d'alarme parce que le Begriff c'est justement ce coup-ci ..
 Un leitmotiv oublié , un Leitmotiv qui me murmure d'interioriser.

Tic-Tac.
Je supporte encore, mais combien de temps ?
Quand me rendrais-je compte que j'avance sans pouvoir jamais revenir chercher ce que j'aimais, ce que j'ai bêtement laissé sur le bas côté.

Avant je pouvais me la péter.
Maintenant, je suis une grosse blague.
Demain, je ne serais peut-être rien.


Beh oui, 1 h 15  Fuck Rousseau !
Parce que je suis trop honnête, voilà pourquoi je suis encore debout à cette heure de merde.

Tu te rends compte de ce que j'ai perdu ce week-end ? De ce que j'ai ressenti ?
J'ai perdu ma vie. J'ai perdu ce pourquoi j'avançais.
C'est comme si je m'appelais P. et que je perdais mes cheveux rouges, la photographie et la littérature.
C'est comme si je m'appelais T. et que je devais renoncer à mes ambitions.
C'est comme si je m'appelais J. et que je perdais ma raison exister.
C'est comme si je m'appelais J et que je perdais mes notes, mes gammes, mes vibratos et mon souffle.

C'est comme si après six mois, on vous arrachait la seule chose dont vous étiez fière en vous, et qu'en fait, c'était votre faute à vous et personne d'autre.
Ca me donnerait envie de me jeter d'un pont.
Je le fais pas .... Je me demande vraiment pourquoi parfois.